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 Womenpreneur Award 2024 & Womenpreneur Market

Womenpreneur Initiative soutien plus de 20000 femmes entrepreneuses à travers le monde et à ce sujet nous avons 2 bonnes nouvelles à vous partager !

Premièrement, nous sommes sélectionnées pour le Womenpreneur Market qui aura lieu le 5 octobre prochain à la place de la monnaie.

Deuxièmement, nous voici sélectionné parmi les 3 finalistes de la catégorie « Durable » pour le Womenpreneur Award 2024 ! Un prix qui nous permettra d’obtenir plus de visibilité pour trouver des associées ou investisseurs pour développer notre marque. Votre présence est donc indispensable pour nous, d’autant plus que vous pourrez également voter pour le prix du public ce lundi 30 septembre !

Nous espérons donc vous y voir nombreux et nombreuses pour nous soutenir et venir vous inspirer !

Sélectionnée pour le Womenpreneur Award 2024 – Catégorie Durable

Lundi 30 septembre | 18h à 21h30 | Hôtel de Ville de Bruxelles

Vanessa COLIGNON, fondatrice de Design for Resilience est sélectionnée parmi les 3 finalistes pour le Womenpreneur Award dans la catégorie “Durable, une récompense qui célèbre l’engagement et les réalisations durables des femmes entrepreneures. Et comme l’année passée, vous pouvez également désigner le prix du public !

La cérémonie de remise des prix aura lieu lundi prochain, et vous êtes invité.e.s à y participer pour nous soutenir !

Les Womenpreneur Awards se dérouleront le 30 septembre de 18h à 21h30 à l’Hôtel de Ville de Bruxelles (1, Grand Place).

Découvrez le programme complet de l’événement

Soutenez-nous en participant à la cérémonie des Awards : 


Womenpreneur Market

Samedi 5 octobre | 10h – 18h | Place de la Monnaie, Bruxelles

Rejoignez-nous pour une journée dédiée à l’entrepreneuriat féminin lors du Womenpreneur Market ! Venez découvrir des produits innovants, échanger avec une trentaine d’entrepreneuses inspirantes et soutenir des projets porteurs de sens. On vous prépare une sélection de produits pour rester au chaud sans surchauffer la planète !

Quand : Samedi 5 octobre, de 10h à 18h
: Place de la Monnaie, Bruxelles

C’est l’événement à ne pas manquer pour faire le plein d’idées et d’inspiration !

Design for resilience©Rodéo Studio
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Future Generation – Exposition

Rejoignez-nous à FUTURE GENERATION, l’exposition qui célèbre la créativité et l’innovation à Bruxelles ! Organisée par le MAD, où nous avons eu la chance d’être incubés ces deux dernières années.

Cette exposition marque la fin de notre accompagnement au sein du MAD Incubator. Nous seront exposés aux côtés de 14 jeunes talents fraîchement diplômés et primé, ainsi que des 9 autres marques créatives prometteuses du programme MAD incubator.

C’est l’occasion parfaite de découvrir nos projets et ceux d’autres entrepreneurs visionnaires, tous engagés pour un futur plus durable, inclusif et innovant dans la mode et le design. Venez célébrer avec nous ces deux années de travail acharné et d’inspiration, et plongez dans l’avenir d’un secteur en pleine transformation. Nous avons hâte de vous y retrouver !

Vernissage le 26/09/2024, sur inscription uniquement. Attention, dernières places disponibles, inscrivez-vous ce lundi 23/09 au plus tard.

Informations pratiques

Certains de nos accessoires de nettoyage et nos gants de gommage en chanvre seront disponibles à la vente via l’accueil du MAD auprès de Cornelia.

Programme du vernissage :

17 h — Ouverture des portes
18 h — Performances & démonstrations
19 h — Cérémonie des Awards pour les jeunes diplomé.e.s & verres offerts
22 h — Clôture de l’évènement

Horaires

27.09.2024 – 16.11.2024: Future Generation

Gratuit et ouvert au public du mercredi au samedi de 10h à 18h.

Adresse :

MAD Brussels : Place du Nouveaux Marché aux Grains 10, 1000 Bruxelles.

Plus d’informations :

Visitez le site web du MAD pour consulter le programme détaillé.

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Dans les coulisses de la création d’essuies en lin belge : qualité, traçabilité et durabilité (le making-of)

Essuies en lin européen fabriqué en Belgique par Design for resilience et ceetex

Produire nos essuies en lin en Belgique : ✓Défi relevé !

Si vous nous suivez depuis notre première campagne de crowdfunding, vous avez peut-être déjà testé l’un de nos tout premiers essuie-main multi-usages LINA ou notre essuie pour cheveux en lin, désormais nommé le Minimaliste. Aujourd’hui, nous vous ouvrons les coulisses de la production de nos essuies en lin.

Développer nos essuies en lin en Belgique est un défi majeur. Actuellement, même nos collègues flamands, qui tissent leurs tissus en lin belge et européen, ne confectionnent pas leurs essuies en Europe. Nous sommes les seuls à prendre ce risque audacieux et à contre-courant de la délocalisation.

Pourquoi produire en Belgique ?

Produire en Belgique nous permet de garantir :

  • Qualité : Une production locale nous permet de contrôler chaque étape de fabrication. ✓
  • Traçabilité : Nos matières premières sont exclusivement européennes et conformes aux normes REACH (garantissant le respect de l’environnement et de la santé). ✓
  • Transparence : Des conditions de travail justes et des textiles sans danger. ✓

De plus, produire localement crée des emplois pour les jeunes diplômés de la filière textile. Intégrer des personnes qualifiées dans notre équipe est crucial pour préserver et transmettre les savoir-faire textiles en Belgique. ✓

Un défi technique et économique

Transformer le lin localement est un défi économique et technique. Le lin, comme le chanvre, est une fibre végétale naturelle qui varie selon le type de sol et la météo. Chaque fibre peut différer en couleur, taille et qualité, compliquant la production de fils et de tissus.

Chez Design for Resilience, produire de manière écoresponsable signifie s’adapter à notre environnement et à nos matériaux, et non l’inverse. Ce processus est long et complexe, car la qualité des fibres varie chaque année. Par exemple, des pluies excessives peuvent compromettre la récolte du lin, rendant sa collecte difficile voire impossible. On dit alors que le lin a versé.

Pour garantir une qualité homogène, les teilleurs, qui battent et peignent les fibres de lin avant leur filature, stockent plusieurs années de récoltes pour les mélanger et créer un fil. Cela permet d’obtenir différentes qualités de fil, chacune destinée à un usage spécifique. Chez nous, nous utilisons la plus fine qualité de lin pour nos linges de maison, car elle est la plus douce pour la peau et la plus facile à transformer.

Mais comment se passe le développement de nos essuies concrètement ?

Souvent, lors des salons, nos clients nous interrogent sur nos produits de nettoyage : “C’est pour se laver ?” “C’est pour s’essuyer ?” “Pourquoi ne faites-vous pas des essuies en lin ?” Initialement, notre objectif était de créer des vêtements avec ces belles matières, mais ce processus est long, coûteux et difficile dans la conjoncture actuelle. Néanmoins, nous avançons, et cet été, nous avons développé des écharpes avec notre propre laine belge et éthique !

L’insistance de notre clientèle nous a amenés à explorer davantage l’application des matières naturelles, et plus nous les utilisons, plus nous en devenons accros ! ♥

Vous êtes prévenu·e·s : une fois que vous aurez goûté au pouvoir hautement absorbant et anti-odeur du lin, vous ne pourrez plus revenir en arrière. Vous vous demanderez comment vous avez pu utiliser du coton pour vous sécher jusqu’à présent ?!

Le sourcing 

Qu’est-ce que le sourcing ?

À notre échelle, cela signifie simplement la recherche de nos matières premières pour nos textiles. Nous nous efforçons de trouver des fournisseurs écoresponsables, vertueux et partageant des valeurs éthiques communes, prêts à livrer de petites quantités de matières premières à de jeunes marques. Cela n’est pas toujours facile. Une fois les fournisseurs trouvés, nous testons leurs matières premières. Si les tests sont concluants, nous passons commande.

Le choix des matières écoresponsables

Le lin est une matière aux multiples avantages, non seulement pour son aspect écologique (voir notre article sur le lin pour en savoir plus), mais aussi pour ses propriétés économiques et dermatologiques.

Un matériau économique et adapté aux peaux sensibles

Le lin nécessite moins de lavage que d’autres textiles, réduisant ainsi le temps consacré aux tâches ménagères. Il absorbe les liquides jusqu’à six fois plus vite que le coton et sèche rapidement grâce à ses fibres respirantes. Sa culture demande moins de traitements chimiques comparé au coton, ce qui en fait un choix idéal pour les peaux sensibles et atopiques, notamment pour apaiser les irritations liées à l’eczéma.

Durabilité et avantages écologiques

La culture du lin est moins exigeante en produits chimiques, ce qui en fait un choix plus sain et écologique. Bien qu’il soit plus coûteux à produire en raison de la main-d’œuvre nécessaire et de sa transformation locale, sa longévité est exceptionnelle. En témoignent les momies égyptiennes, enveloppées dans des bandes de lin, qui ont résisté à l’épreuve du temps. À titre de comparaison, même le coton de haute qualité a une durée de vie moyenne de 10 à 20 années.

En résumé, malgré son coût de production plus élevé, le lin s’avère être un investissement durable et bénéfique à bien des égards. Une fois que vous aurez adopté le lin, vous ne voudrez plus revenir en arrière.

Habitez une maison écologique et naturelle

Grace aux fibres naturelles respirantes et sans odeur, profitez d’un intérieur sain et harmonieux.

Le prototypage : essais et erreurs  

Revenons à nos moutons… ou plutôt, à nos fibres végétales et à nos essais de prototypes !

Tout d’abord, il y a la loi de l’offre et de la demande et, bien sûr, notre goût pour les produits efficaces et de qualité. Et puis, il y a l’expérimentation.

Lorsque nous avons commencé à développer nos essuies et nos éponges absorbantes à base de lin et de chanvre, nous avons cherché à créer des tissus absorbants similaires à ceux des essuies classiques, mais en utilisant la technique du tricot. Cette méthode, plus rapide, est mieux adaptée à une production locale, à une époque où les PME doivent affronter l’explosion des coûts des matières premières et une concurrence aux prix défiant toute logique, reposant sur une main-d’œuvre exploitée et des pratiques non conformes aux normes environnementales et européennes REACH.

Développer une texture d’essuie-éponge durable s’est avéré un défi de taille. Après plusieurs tentatives infructueuses, nous avons dû renoncer à cette idée. En Belgique, chaque seconde de confection a un impact significatif sur le prix de vente. Par exemple, tricoter un seul rang de maille avec cette technique coûtait environ 2,91 €. Un essuie complet, comportant en moyenne 5 rangs par centimètre, voyait rapidement son coût de production dépasser les deux chiffres.

Nous avons donc réalisé plusieurs prototypes d’essuies, mais aucun ne passait les tests : soit l’essuie se déformait, soit il se détendait. Six mois plus tard, notre producteur pensait avoir trouvé une solution plus rapide. Malheureusement, après plusieurs manipulations, nous avons constaté que les essuies se détricotaient de manière aléatoire. Les défauts, dus à l’irrégularité naturelle des fibres de lin et à la structure de la maille choisie, apparaissaient sporadiquement, ce qui nous a induits en erreur lors des tests initiaux.

Les machines de l’industrie textile sont majoritairement adaptées à des matières standardisées comme le coton, la viscose ou les fibres synthétiques, et non aux fibres plus sauvages du lin et du chanvre. 

Heureusement, ce défaut n’est apparu que sur le modèle Lina, avec un taux d’erreur de 1 produit sur 10 pour cette première production en série à notre échelle.

Nous avons donc changé définitivement la structure de nos produits en préservant son motif. Le résultat ? Une qualité améliorée : plus esthétique, plus convaincant au toucher et à l’usage.

Grâce aux participants de notre campagne de préfinancement en novembre 2021, nous avons pu lancer 7 nouveaux linges de maison en lin et en chanvre pour la salle de bain et le nettoyage. Cependant, l’année dernière, un problème majeur d’approvisionnement nous a obligés à changer de lieu de production et à presque tout recommencer à zéro. C’est là que la sérendipité a joué en notre faveur, améliorant encore la qualité de notre production : meilleures finitions, finesse accrue des mailles et structures, nouvelles tailles possibles, dialogue optimal et flexibilité accrue avec notre nouveau producteur. En somme, le paradis !

La production et ses enjeux. 

Bien que nous soyons en bonne voie, le financement des matières premières et de la production de nos essuies reste un défi. C’est pourquoi nous avons lancé une campagne de préfinancement essentielle pour notre développement.

Coûts et financement

Les matières premières que nous utilisons, nécessitant plus de main-d’œuvre, coûtent 10 fois plus cher que le coton et environ 20 fois plus cher que le polyester ou le polyamide. De plus, la production belge coûte jusqu’à 16 fois plus cher qu’une main-d’œuvre asiatique. Cela représente un investissement de taille qui n’est jamais sans risque pour nous !

Le rôle de nos clients

C’est pourquoi nos clients, et pourquoi pas vous, investissent dans leurs futurs essuies avant même qu’ils ne soient produits. Bien que ce processus comporte des risques pour nous et pour nos clients, ceux qui nous suivent connaissent notre persévérance et notre détermination.

Participez à notre aventure

Nos essuies sont presque prêts, et vous pouvez contribuer à cet exploit de relocalisation en réservant dès maintenant vos serviettes en lin : de plage, de bain, de douche, ou en petit format pour les mains et le visage. Toutes douces et super absorbantes !

Prenez soin de vous

Avec du beau linge de bain écoresponsable pour un intérieur sain et harmonieux.

Le création de nos essuies en lin en Belgique

Une fois qu’une idée émerge, il faut trouver un lieu de production. C’est désormais chose faite !

Première étape : La réunion en ligne

Nous commençons par une réunion en ligne avec nos producteurs pour évaluer ce qui est possible. Ensuite, nous leur envoyons du fil pour effectuer des tests. Nous leur laissons alors le temps nécessaire pour travailler sereinement.

Deuxième étape : Visite chez le producteur

Nous nous rendons ensuite chez notre producteur. Notre moyen de locomotion préféré ?  L’intermodalité (train, vélo, marche). Ce mode de transport, presque aussi rapide que la voiture, est économique et permet de profiter de beaux paysages bucoliques, de lire ou de répondre à vos emails, tout en gardant la forme ! 

Le travail sur place

Désormais, nous travaillons avec des néerlandophones, ce qui ajoute un défi linguistique… Ce qui peut parfois causer des malentendus techniques. Pas op!

Le premier test était concluant mais trop régulier ce qui perdait le caractère poétique et spontané des fibres de lin. En alternant légèrement le rythme des rayures, nous avons obtenu un look plus harmonieux et apaisant, rappelant les vagues de l’océan et le design de nos nouveaux coussins en laine ! Nous avons validé cette structure améliorée.

Avant / Après

Troisième étape : Les corrections

Plusieurs échanges pour un produit idéal

Nous cherchons ensuite la technique idéale, équilibrant qualité, beauté, écoresponsabilité et prix juste. Une fois la structure validée et les défauts résolus, nous validons les dimensions.

Améliorations et programmation

Dans notre cas, nous avons profité de notre changement de lieu de production pour apporter enfin toutes les améliorations que nous et notre clientèle souhaitaient. 

Les programmeuses prennent alors le relais, apportant les modifications nécessaires.

Une partie de l’équipe des petits génies qui développent nos essuies

Ensuite, notre responsable de développement réalise les tests d’échantillonnage sur la machine à tricoter et les tests de finitions sur les machines à coudre, tout en chronométrant son travail pour évaluer le coût de production de nos produits belges.

Si vous aviez imaginé que nos essuies étaient tricotés à la main en Belgique, détrompez-vous : le prix ne sera soit tout simplement pas viable, soit pas vendable.

La cause ? Le coût de la main d’œuvre, les charges et le pouvoir d’achat. Un ou une tricoteu·r·se expérimenté·e met 8 heures pour tricoter un bonnet à la main. Imaginez le temps nécessaire à la confection d’essuies de la même finesse que les nôtres…

En Belgique, les dernières entreprises de tricotage sont généralement équipées d’une trentaine de machines à tricoter. Mais en Chine, par exemple, une entreprise classique peut faire tourner à plein régime 3 000 machines en même temps, et cela, h24.

Prototypage des nouvelles tailles du modèle d’essuie Lina.

Étapes finales

Les prochaines étapes incluent la réalisation des photos de nos nouveaux essuies, l’ajustement des prix de vente si nécessaire, la communication autour de nos essuies, la commande des nouveaux fils, la production, les finitions et enfin la distribution.

Une fois les fils arrivés, une employée calcule le délai final de production. Les délais de livraison peuvent être affectés par les congés annuels et la conjoncture, rendant difficile la prédiction des dates de production et de livraison exacte.

Première version du modèle Lina : Essuie en lin belge et français, fabriqué en Belgique

Et la suite ?

À nous de jouer !

Si les politiques et l’électorat semblent bouder l’écologie et les mesures environnementales strictes, rappelons-nous que Design for Resilience est né du constat d’une inertie générale et du manque de solutions écoresponsables sur le marché.

Ensemble pour un avenir durable

Même si les politiciens continuent d’autoriser les pesticides, nous pouvons et devons nous y opposer en valorisant des matières premières nécessitant très peu ou pas de pesticides. Et c’est pourquoi au-delà des incroyables spécificités techniques des fibres libériennes, il nous semble vital de persévérer dans la diffusion et dans le développement du lin et du chanvre en Belgique. Cependant, nous ne réussirons qu’en collaborant avec vous : clients, citoyens et consomm’acteurs, par vos choix et investissements éclairés en faveur d’une économie locale et de la transition environnementale.

Essuie de bain en lin européen, tricoté en Belgique en 2024 - Modèle LINA

Découvrez nos essuies en lin

Notre collection se compose de 2 modèles de serviettes en lin. Chaque modèle est disponible en 4 tailles :

  • LINA : un essuie épais au design frais, idéal pour un moment de détente à la maison ou au spa.
  • Le Minimaliste : un essuie épuré et fin pour s’emporter partout avec vous, même en sac à dos. Séchage rapide garanti!

En savoir plus : 

Les tissus en viscose de bambou ou en cellulose de bois sont-ils écologiques et naturels ?

Découvrez comment sont transformées et produites nos matières naturelles

Découvrez notre article : « Un essuie cheveux en lin européen pour un séchage doux et rapide »

Découvrez comment nous avons développé notre propre fil de laine belge et éthique (Bientôt disponible, abonnez-vous pour ne rien rater)


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Détendez-vous

Avec notre gamme de produits naturels pour le corps, pour un mode de vie durable.

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Les tissus en viscose de bambou ou en cellulose de bois sont-ils écologiques et naturels ?

Non, les textiles à base de bambou ou de cellulose ne sont ni naturels, ni écologiques et encore moins anti-bactériens !

Plante de bambou asiatique pour illustrer le tissu en viscose de bambou. Une matière qui n'est pas du tout écologique et présente des risque de toxicité pour la santé et l'environnement !

Nombreux sont ceux qui croient qu’une matière textile à base de cellulose ou de bambou est forcément naturelle et écologique. FAUX !

Il faut dire que certaines marques jouent sur les mots, ce qui crée la confusion. Au lieu d’indiquer le nom d’une matière, et bien qu’illégale : certaines n’hésitent pas à écrire “cellulose” à la place de viscose, ou encore “bambou” au lieu de « viscose de bambou » ou ne citent que les ingrédients supposément “naturels” en grand sur la face avant de l’emballage. # VU EN BELGIQUE

Pourtant, retournez l’emballage, et vous découvrirez que ces matières, en plus d’être artificiellement transformées, sont souvent mélangées à parfois plus de 50% de matières synthétiques : polyester, élasthanne, acrylique, polyamide… ou encore du coton conventionnel sans aucune certification et qui nécessite de grande quantité d’eau et de pesticides pour arriver à maturité. 

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